Entendue hier, mardi après-midi par l’inspecteur général de la santé publique DSP, wilaya de Batna, Dr Meksem, a indiquée que « Faute de communication et pouvoir d’exprimer les difficultés et besoins aux les responsables concernés qui imposent souvent le silence et la peur, au lieu d’écouter nos préoccupations et réclamations, j’ai dû écrire des post sur facebook, pour attirer l’attention et mettre les moyens nécessaires pour améliorer les conditions de travails qui vont dans l’intérêt des patients avant tout,le directeur s’est fixée l’idée de me licencier à sa manière », a-t-elle déplorée en guise d’arguments. Poursuivant son intervention, elle ajoute « Malheureusement, cela n’a pas plu au directeur qui a imprimé les textes. il a trouvé cela comme prétextes pour me pousser à la porte, sans tenir compte des exigences médicales, le manque d’effectif et le respect des personnes et de la réglementation sanitaires en vigueur », a-t-elle déplorée. Maitrisant bien son sujet, Dr Meksem, ajoute que « Cette situation déplorable qui règne à l’EPH ain Touta ne peut durer longtemps. C’est presque tout le personnel qui se plaint du comportement du dircteur ne va pas dans l’intérêt des patients, ni des personnels médicales, ni de l’établissement ni du secteur de la santé de manière générale« , a-t-elle soulignée. La même situation concerne des dizaines, si ce n’est des centaines de cadres et employés licenciés au niveau des autres établissements de santé et autres secteurs à cause des post sur Facebook, et ce, à défaut de pouvoir exprimer les préoccupation à certaine hiérarchies qui font la sourde oreil devant les préoccupations qui vont dans d’intérêt général des établissements et meme les réclamations sociaux professionnels des cadres et employés.
A. C